Porte-parole de la nouvelle renaissance anglaise, son brio, son excentricité vestimentaire, son humour et son infini talent en font la coqueluche de l’intelligentsia britannique et française. Ami de Gide, de Mallarmé, de Verlaine et de tant d’autres, il meurt à Paris en disant : « Je meurs comme j’ai vécu, au-dessus de mes moyens. »