Viva l'Opéra « Le prince Igor » d’Alexandre Borodine

Grande épopée russe célèbre pour ses Danses polovtsiennes, l’unique opéra de Borodine questionne la responsabilité du leader face à son peuple. Après avoir abandonné le pouvoir au despotisme de son beau-frère pour partir au combat, Igor est fait prisonnier avec son fils. De son refus de pactiser avec l’ennemi à son retour auprès des siens, les actes du prince invitent à repenser nos propres valeurs morales. En délestant l’œuvre de son plus élémentaire folklore, la mise en scène de Barrie Kosky souligne cet universel besoin d’éthique..


Vente Caritative / Goûter de Noël

Notre vente caritative sera au bénéfice du Patrimoine. Vous trouverez mille et un petits cadeaux pour ravir vos proches à l’occasion des fêtes de Noël
Achats illimités, à consommer sans modération…
Venez nombreuses avec vos amies !


Conférence « Pour l’amour de l’art » une autre histoire des Pompidou

Alain Pompidou nous fait revivre la passion de ses parents pour l'art. Georges et Claude Pompidou formaient un couple pétri de culture classique mais en avance sur son temps. Leur insatiable curiosité partagée, au-delà de la disparition du Président, apparaît donc doublement animée par l'amour de l'art. Un nouveau regard sur les Pompidou nourri par les témoignages inédits de Madeleine Malraux, Maïa Paulin, Pierre Soulages…


Visite de la Galerie Dorée de l’Hôtel de Toulouse

La galerie mesure 40 mètres de long pour 6,5 m de large et 8 m de haut. Elle fut construite entre 1635 et 1640 par François Mansart pour le secrétaire d’État de Louis XIII, Louis Phélypeaux de la Vrillière. Puis, entièrement redécorée entre 1714 et 1719 par l’architecte Robert de Cotte et le sculpteur Louis-Antoine Vassé, après le rachat de l’hôtel par le Comte de Toulouse.


Bring café gourmand « Haydn et Mozart: une si belle amitié »

Fondateur de l’iconographie religieuse et chantre des cathédrales françaises, l’historien d’art Emile Mâle (1862-1954) fut à la fois académicien, professeur en Sorbonne et écrivain prolixe.
Il influença profondément l'élite culturelle de son temps (Proust, Barrès, Maurice Denis...)
Venez redécouvrir la figure de cet amoureux du Beau, qui retrace dans son œuvre l’histoire de l’art chrétien des origines à la Contre-Réforme (XVIIème siècle).


Visite privilège "Les ateliers Moynat"

Hoppyssime vous donne rendez-vous dans la très chic rue Saint-Honoré chez la première femme malletier de Paris, Pauline Moynat. Vous serez accueillies au sein de la Maison Moynat, créée en 1849.
Après avoir découvert l'histoire fascinante de cette marque et apprécié les secrets de fabrication des artisans d’excellence, vous serez invitées au salon pour poursuivre la discussion


Exposition "La Collection Alana"

Dans la lignée des plus grandes collections américaines, la Collection Alana est le fruit d’un intense travail de sélection et d’amour de l’art opéré depuis plusieurs décennies par Alvaro Saieb et Ana Guzmàn, un couple dont la réunion des prénoms forme celui de la Collection Alana. Au fil des ans, leur passion s’est muée en une véritable fascination pour l’art gothique et la renaissance italienne et les a progressivement conduits à s’intéresser aussi à la peinture des XVIe et XVIIe siècles.


Exposition "Toulouse Lautrec" résolument moderne

L’exposition du Grand Palais - qui réunit environ 200 oeuvres - veut, à la fois, réinscrire l’artiste et dégager sa singularité. Si l’artiste a merveilleusement représenté l’électricité de la nuit parisienne et ses plaisirs, il ambitionne de traduire la réalité de la société contemporaine dans tous ses aspects, jusqu’aux moins convenables. L’exposition montre enfin comment cet aristocrate du Languedoc, soucieux de réussir, a imposé son regard lucide, grave et drôle au Paris des années 1890 et pourquoi Toulouse-Lautrec s’inscrit comme un précurseur de mouvements d’avant-garde du 20e siècle, comme le futurisme


Viva l'Opéra "Roméo et Juliette" de Charles Gounod

« Un impossible rêve d’amour »
Quatre duos d’amour, une ferveur constamment relancée, Roméo et Juliette est l’opéra de la jeunesse et de la passion. Précisément, dans cette production de l’Opéra de Vienne, c’est un « jeune » chef qui est dans la fosse, à la tête du Philharmonique de Vienne (privilège de cette maison !), un certain Plácido Domingo. Et sur scène, un couple jeune et rayonnant formé par le fameux ténor péruvien Juan Diego Florez et la nouvelle soprano russe Aida Garifullina : avec eux, vous allez être soulevés, entraînés, emportés sur ces chemins de l’amour, vous frémirez avec eux et, finalement, vous pleurerez avec eux.